Logorrhée
Ainsi cet article de Franck Louvrier, conseiller pour la communication et la presse à la présidence de la République paru dans libération.
La relecture des slogans de 68 est instructive.
C’est très bien Franck de t’intéresser à une époque antérieure à Club Dorothée.
«J’ai quelque chose à dire mais je ne sais pas quoi» placarde le manifestant,
Tu pouvais mieux faire tu annonçais des slogans mais en recherchant des citations dans evene.fr tu n’en as trouvé qu’une.
expliquant par là qu’en préalable à toute revendication spécifique, la génération 68 cherchait un espace pour s’exprimer, un lieu pour «dire» les choses.
Mais non relis la citation le manifestant ne dit pas «J’ai quelque chose à dire mais je ne sais pas où» il dit quoi. Mais voilà, tu as mal lu et maintenant que tu as casé ta référence sur l’année 68, plus rien n’arrêtera ta logorrhée.
Cet espace public d’expression et de débat, bâti hier à coups de pavés, est aujourd’hui à la portée d’un simple clic. L’espace infini d’Internet offre à celui qui a quelque chose à dire les moyens de s’exprimer. Dans quelle mesure Internet permet de réaliser les aspirations de la génération 68 ? Voilà une question qu’il nous appartient de poser, à la lumière de la double dynamique, technique et économique, qui détermine notre rapport au web…
Bleurk…..