Le nouveau monde, ou l’asservissement.
C'est la conclusion de l'article de Hervé Kempf cité par article XI : le nouveau monde, ou l'asservissement.
Je penserais plus que le choix est entre le nouveau monde ou le chaos. Si le système capitalisme ne se rétablit pas, ses partisants vont déclencher le chaos, c'est ainsi qu'ils réagissent toujours. Ils entrainent l'état et la société dans une spirale de violence interne : terrorisme, insécurité ou externe guerre.
Ils entrainent l'état dans une spirale de dépense publique : armée et police.
Et quand les caisses sont vides ils accusent les pauvres, les services publics, les socialistes.
La spirale est enclenché que rien ne peut arrêter.
Bien sur il y a (que) des ratés dans cette communication :
- On annonce que les caisses sont vides, que l'état est en faillite pour demander à la société de se serrer la ceinture.
- On n'a pas de moyens pour la crise alimentaire.
- On annonce un plan de sauvetage des banques spéculatives (les banques de détail se portaient trés bien, merci) de centaines de milliards.
- Pour les hopitaux merci, il n'y a pas de problèmes de financement, il y a un problème d'organisation. Pour la banque c'est l'inverse donc.
Plus rien ne fonctionne, donc nouveau monde ou chaos.
Notre président,suffisamment intelligent pour finalement n'avoir aucune idée, attends Obama pour lui emboiter le pas.
Décroissance maintenant. Et le premier signe d'un vrai arrêt du capitalisme sera la sortie des compagnies pétrolières de la spère spéculative. Ces sociétés qui font des bénéfices monstres, qui polluent la planète, qui spollient les droits des peuples. J'arrête.