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Le blog libertaire et anarchiste de NicoCerise
9 mars 2009

Chroniques révolutionnaires : le retour

Le pouvoir s'acharne en Guadeloupe, la bête bouge encore.

Faut-il rappeler le courage et la détermination des nègres marrons. D'autres ne se sont pas rendus alors qu'ils n'avaient rien à perdre. La force de ceux qui se battent alors qu'ils pourraient être peinard sur leurs terrasses à siroter des p'tis punchs est encore plus remarquables.


Appeler à la révolution c'est crier avec les loups je me rends compte que je partage les idées des anarchistes, des royalistes, de l'action française, de diverses sectes, de certains F. de souche, de chrestiens purs etc...

Si la révolution gagne celui qui perd c'est le libertaire.

Que faut-il vouloir Gagner contre ses idées ou Perdre contre ses idées.

Peut-être que gagner ou perdre ne veut rien dire à ce jeu.


Comme le dit ma copine Berthe "N'oublions pas de se gamahucher avant le combat final".

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Commentaires
N
@Parkane : merci de votre réponse, c'est si vrai que cela est confus, mais on ne peut se satisfaire de cultiver son jardin, pas si jeune, plus tard peut être. Car une chose est sure il faut d'abord prendre la réalité comme elle est.
N
@Parkane : merci de votre réponse, c'est si vrai que cela est confus, mais on ne peut se satisfaire de cultiver son jardin, pas si jeune, plus tard peut être. Car une chose est sure il faut d'abord prendre la réalité comme elle est.
P
Ce que j'ai voulu dire, en gros, c'est que la révolution n'est qu'une méthode, mais à force d'accaparer le terme, la méthode semble être devenu synonyme d'un objectif de gauche.<br /> Du coup, quand n'importe qui parle de révolution, le réflèxe conditionné se trouve mis à mal quand le gauchiste à l'oeil humide et frétillant déjà, se rend compte que l'autre parle d'une révolution qui n'a pas du tout les mêmes buts.<br /> Bien sûr, quand c'est un militariste qui veut prendre le pouvoir, nous parlerions plutôt de révolution de palais ou de coup d'état, quand c'est un monarchiste nous parlerions de restauration violente, genre steack haché de chez MacLouis XVII, etc., mais il se trouve que "nous" n'avons pas le monopole du terme "révolution".<br /> Sans parler des révolutions "bourgeoises" genre révolution française, la révolution "nationale" du maréchal, etc.<br /> Le problème du libertaire est qu'il voudrait éviter le mouvement collectif et ses faiblesses tout en profitant de sa force, que de contradictions !<br /> <br /> Amicalement
N
@Parkane : la société est une fusion de cons dirait Frêche.
P
Je sens là une certaine con-fusion, mais comme il y a de la world music il y a peut-être aussi une univers politic ?
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