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Le blog libertaire et anarchiste de NicoCerise
16 avril 2010

Quand mon archevêque m’appelle, j’obéis

Michel Camdessus l'ancienne légende du FMI pendant 13 ans est toujours parmi nous (comme Jésus)

Michel Camdessus a toujours obéi.

D'abord aux premiers qu'ils croisent et Michel ne croisent que des puissants.

Quand ils croisent des pauvres il a tout donné, il ne lui reste que sa compassion.

Mais l'argent c'est rien : À nous, qui avons la chance d’avoir reçu ce message de l’Évangile, de démasquer cette idolâtrie et de montrer que ce n’est pas l’argent qui fait le bonheur des hommes.

Est-il responsable ? j’ai essayé de m’acquitter de ma tâche du mieux possible. Je saurai le jour du Jugement dernier si oui ou non je m’en suis à peu près bien sorti. En attendant, je m’en remets à la douce miséricorde de Dieu.

La crise aujourd'hui = des voleurs de poules

Plus j’avance dans l’analyse de cette crise, plus j’y trouve une explication à travers cette parabole : ce qui se passe dans le “village mondial” n’est pas sans similitude avec ce qui avait lieu dans les villages de mes ancêtres. La vie y était réglée par un conseil municipal, le gendarme y faisait respecter la loi, tandis que le curé et l’instituteur veillaient sur les âmes. Si par malheur un événement échappait à la vigilance de toutes ces instances, s’instaurait alors ce que mes ancêtres appelaient le règne des voleurs de poules. La loi de la jungle et du chacun pour soi s’installait. Il s’est passé à peu près la même chose dans le village global. Sur un marché sans règle ni garde champêtre, bon nombre d’acteurs se sont comportés comme des gens sans foi ni loi. Il faut donc fixer des règles, restaurer les institutions mondiales et substituer au règne de l’argent-roi une économie de la fraternité.

Qu’est-ce qui vous a rendu le plus heureux cette année ?
Ce sont les moments passés en famille. Ma femme, mes six enfants et mes huit petits-enfants contribuent au bonheur de ma vie.

Malheureusement au temps de sa grandeur, il n'a pas vu ses enfants grandir.

C'est ça le malheur d'une vie : on pense une chose et en fait une autre.

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